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Et puis après, promis, j’arrêterai un peu de vous parler de biquettes sinon vous allez finir par les prendre en grippe, ces Alors la prochaine fois ce sera un post « avec quelque chose à se mettre sous la dent », ras*urez-vous. Pour vous montrer ma bonne volonté, j’essaierai même de ne pas écrire une seule fois le mot « chèvre » de tout mon article… (Est-ce que j’ai quand même droit à « caprin », « biquette »? Non? Pff, z’êtes durs…) En attendant, petit retour en photos sur la belle journée d’hier… nous n’oublierons jamais… Bien tranquillement, les pe*ites chèvres prennent le « bus » qui va les mener vers leur nouvelle à son troupeau chéri. Gros serrement de cœur. Et puis, le camion s’élance. Sous un ciel encore rose, des vaches charolaises semblent qu’il puisse pas*er tous les barrages routiers de notre pays « un peu » en émoi ces temps-ci, espérant très fort qu’il n’y ait pas de blocage, pas de chahut, pas d’émotions fortes et que tout se déroule au mieux. Car dedans, bien au chaud, se serrent un peu jusqu’à la chèvrerie (la cour est trop étroite pour tourner). Que faire ? Une fois de plus, la solidarité des campagnes fonctionne à merveille, et un agriculteur du village que nous connaissons à peine propose illico son aide : le camion peut se garer chez lui. Un autre éleveur prêtera de bon cœur sa pe*ite remorque-bétaillère à Hugues, qui n’a plus qu’à l’accrocher derrière son « antique » tracteur (antique mais fidèle, il nous l’a bien prouvé hier !). Et c’est parti pour deux aller-retour trajet là est court, moins d’un kilomètre. Il est un peu plus de 16H, le jour décline déjà, et moi je suis là, attendant as*ise traduit bien l’élan des biquettes –moment magique !-s’élançant spontanément vers Hugues et Roseline, leurs nouveaux éleveurs…leurs nouveaux amis. Une bonne étable les attend, paillée sur 40cm d’épaisseur. Hugues avait tout préparé,